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Lors d’une interview d’après-match après la victoire contre le Cap-Vert, Marc Brys n’a pas pu s’empêcher d’exprimer sa frustration. L’entraîneur belge souhaite simplement travailler dans un environnement sain.

Verbatim :

Carlos (Baleba), comment l’avez-vous trouvé personnellement et pourquoi l’avez-vous sorti ? Est-ce pour le reposer en vue du prochain match ? Et Choupo-Moting, pourquoi n’est-il pas entré sur le terrain ?

Marc Brys : Mais c’est simple. C’est le choix de l’entraîneur.

Il s’est bien débrouillé contre le Cap-Vert. En tant qu’entraîneur professionnel, quel est votre prochain objectif en Angola ?

Marc Brys : (Que dois-je dire ? Je comprends votre question car l’Angola a eu un jour de repos supplémentaire. Ils jouent à domicile, ce sera donc un match complètement différent. J’ai vu beaucoup de vidéos et ils ont un très bon attaquant qui marque facilement. Cette équipe est très rapide. Ils ne circulent pas beaucoup, mais ils vont vite en profondeur. Nous devons donc nous adapter à cette équipe. Le Cap-Vert était une équipe qui contrôlait le milieu de terrain, avec beaucoup de mouvements au milieu et dans l’axe. Nous l’avons bloqué et nous verrons comment nous affronterons l’Angola pour essayer de gagner ce match.

Cette victoire intervient après de nombreux problèmes administratifs. Quels sont vos espoirs pour l’organisation future de l’équipe ?

Marc Brys : Vraiment, je ne pense pas que cela puisse être caché. Mais il doit être plus facile d’entraîner, plus facile de jouer. Il y a toujours quelque chose. Bien sûr, cela me met en colère. Mais nous n’allons pas commencer à pleurer, nous n’avons pas commencé à nous battre. Nous avons trop de travail à faire, malheureusement. Mais ce n’est pas productif pour les 30 millions de Camerounais. C’est clair. Encore une fois, je suis apolitique. Je suis venu ici pour faire mon travail. Je veux le faire au mieux de mes capacités. Nous verrons quels seront les résultats, mais j’aimerais que les choses soient un peu plus faciles et que tout le monde commence à travailler ensemble.

La rédaction de Camfoot

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